Robin Cook est un auteur que j’ai beaucoup lu par le passé, jusqu’à être lassée… Parce que le postulat de départ est toujours le même : un médecin (Robin Cook est lui-même médecin) découvre un truc pas très joli joli (du genre du scandale du Mediator) et fait tout pour mener son enquête et faire éclater la vérité au grand jour. Enquête politico-scientifique, j’ai immédiatement accroché à l’univers de l’auteur. Que je re-découvre peu à peu à petites doses (sinon, c’est l’indigestion !)
Justement d’indigestion, parlons-en. C’est (un tout petit peu) le sujet du livre, enfin l’entrée en matière.
Synopsis : Au début, ce n’était qu’une banale intoxication alimentaire. Le hamburger était « contaminé ». Mais lorsque le Dr. Reggis emmène sa fille aux urgences, il comprend que l’empoisonnement est bien plus grave qu’il n’en a l’air. Le mal progresse, inexorablement. Un mal qui pourrait toucher toute la population si l’on n’intervient pas immédiatement. Car derrière une simple bactérie se cache un trafic frauduleux organisé par la pire des mafias : une industrie avide d’argent, prête à tout pour écouler une marchandise impropre à la consommation. Des plus sordides abattoirs aux plus hautes instances des ministères, le mal circule insidieusement et se monnaye très cher. Pour le Dr. Reggis, une véritable course contre la montre et contre la mort s’engage.

Je l’ai lu il y a quelques années déjà : celui-ci est excellent dans son genre. Et de fait, certains détails font frémir et reconsidérer la manière dont on regarde notre assiette !
Comme toi, j’ai une une période Robin Cook – tout comme j’ai eu une période Dean Koontz, une autre Jean d’Aillon… un peu obsessif, mon rapport aux bouquins – et à présent, je m’y replonge une fois de temps en temps, pour ne pas saturer…